Brève analyse de la situation politique, économique et sociale en Bolivie 2025

de notre partenaire ANAWIN à Cochabamba, mai 2025

(die deutsche Version dieses Textes finden Sie hier)

Depuis la mi-2023, la Bolivie traverse une situation économique, politique et sociale complexe. D’une part, l’économie bolivienne montre des signes de détérioration. Les réserves internationales nettes restent inférieures à 3 milliards de dollars [1], ce qui génère une instabilité des taux de change [2] et des problèmes d’importation d’essence et de diesel pour la consommation intérieure [3] . Tout cela contribue à une augmentation soutenue du taux d’inflation de plus de 5 % cette année [4] , avec une inflation de 9,97 % en 2024 et de 15,4 % pour les denrées alimentaires la même année [5].

Sur le plan politique, la Bolivie organisera des élections présidentielles le 17 août, avec une société politique divisée. Le scénario électoral est marqué par la division de multiples candidats tant à gauche qu’à droite. La droite est divisée entre des courants plus extrêmes comme Jaime Dunn et des courants plus centristes comme Samuel Doria et Jorge Quiroga. Mais ce qui contribue le plus à la crise politique est la division interne au sein du Movimiento al Socialismo (MAS). Le président Luis Arce et l’ancien président Evo Morales se disputent la direction du parti. Ce dernier, disqualifié par la justice pour se présenter aux élections d’août 2025 en raison d’accusations judiciaires, a tenté de maintenir son influence politique. Dans ce contexte, Andrónico Rodríguez, président du Sénat et considéré comme l’héritier politique de Morales, a annoncé sa candidature à la présidence, prenant ainsi ses distances avec les deux dirigeants et remodelant le paysage politique bolivien.

La situation sociale en Bolivie est tendue. Au cours du premier trimestre 2025, 201 conflits [6] ont été enregistrés. La plupart de ces conflits étaient liés à des protestations contre la hausse des prix des denrées alimentaires et à des questions politiques. L’un des conflits les plus récents, ici à Cochabamba [7],est lié aux déchets non collectés, qui nuisent à la santé de la population de la ville.

Dans le domaine de l’environnement, la déforestation et les incendies de forêt en 2024 restent des problèmes graves qui affectent les communautés indigènes et rurales [8]. En outre, en 2025, le département de Cochabamba a connu de fortes pluies, les pires depuis 1959 [9]. Ces pluies ont provoqué des glissements de terrain sur les routes rurales et le débordement des rivières. 

Comment les conflits affectent-ils les communautés les plus vulnérables ?

Les conflits en Bolivie en 2025 ont un impact dévastateur sur les communautés les plus vulnérables. La situation économique complexe a provoqué une instabilité des taux de change qui érode directement le pouvoir d’achat des familles à faible revenu, rendant de plus en plus difficile le maintien du niveau de vie des familles indigènes en raison de l’augmentation continue des prix. L’inflation cumulée de plus de 20 % depuis le début de la crise a entraîné de réelles difficultés d’accès aux produits de base, une situation qui est exacerbée dans les zones rurales et périphériques. Les pénuries de carburant, en particulier d’essence et de diesel, ne rendent pas seulement les transports plus coûteux, mais perturbent également les chaînes d’approvisionnement essentielles pour ces communautés.

Sur le plan environnemental, les communautés indigènes et paysannes sont directement touchées par la déforestation, les incendies de forêt et les pluies torrentielles. Leurs moyens de subsistance, étroitement liés aux ressources naturelles, sont menacés par les changements climatiques soudains et les difficultés d’accès aux marchés locaux pour vendre leurs produits.

La fragmentation politique complique encore la situation. La division entre la droite et la gauche, y compris la division interne au sein du MAS entre Luis Arce et Evo Morales, rend difficile l’élaboration de politiques cohérentes pour faire face à ces crises. Les communautés vulnérables, dont les capacités de défense politique sont moindres, voient leur voix diluée dans ce contexte polarisé.

Cette convergence de crises économiques, sociales, environnementales et politiques crée un cercle vicieux pour les secteurs les plus marginalisés de la société bolivienne. À l’approche des élections présidentielles du mois d’août, ce sont précisément les femmes, les enfants, les personnes âgées, les communautés indigènes et les habitants des zones périurbaines qui font les frais de cette situation défavorable, qui creuse les écarts historiques en matière d’inégalité et compromet leurs perspectives de développement à moyen et long terme.

Pour les ONG comme Anawin, les difficultés se manifestent par des problèmes de transport vers les communautés dans le cadre des projets que nous menons, en raison des longs délais causés par les temps d’attente pour le carburant. En outre, nous avons rencontré de sérieuses difficultés dans le processus d’importation des matériaux et des intrants nécessaires à la réalisation des projets, en raison de l’instabilité des prix et des difficultés à obtenir des devises étrangères.

Perspectives pour la fin de l’année 2025

Il est difficile d’envisager une réalité économique et politique stable à court terme. La multipolarité politique et les difficultés économiques nous amènent à penser que, quel que soit le gouvernement, celui-ci sera contraint de demander un prêt international au Fonds monétaire international pour stabiliser la situation économique du pays. Or, par expérience, nous connaissons les conditions de ces prêts, conditions telles que la fermeture d’entreprises publiques, le gel des salaires et d’autres conditions défavorables à la majorité de la population.

Les Boliviens forment une société profondément résiliente et adaptable. Bien que la situation actuelle soit caractérisée par sa complexité et que les perspectives d’amélioration à moyen terme semblent limitées, le besoin fondamental de générer des revenus pousse la population à trouver des voies alternatives et des solutions créatives. Cette capacité d’adaptation se reflète dans la persistance de l’activité économique, même en temps de crise. L’ingéniosité de la base a permis de développer des réseaux de soutien communautaire et des mécanismes économiques informels qui soutiennent les familles lorsque les structures formelles vacillent. Les marchés locaux, les petites entreprises et les entreprises familiales continuent de fonctionner, tissant une toile économique parallèle qui résiste aux fluctuations macroéconomiques.

Les communautés les plus vulnérables, bien que touchées de manière disproportionnée par les défis actuels, font preuve d’une capacité extraordinaire à se réorganiser et à créer des systèmes de subsistance alternatifs. Cette dynamique, enracinée dans les pratiques culturelles ancestrales et les connaissances traditionnelles, permet à la vie quotidienne de se poursuivre avec un certain degré de normalité malgré les difficultés structurelles.

Cette résilience ne doit pas être interprétée comme une résignation, mais comme l’expression authentique de la vitalité et de la détermination du peuple bolivien à surmonter les obstacles, à préserver ses communautés et à construire, pas à pas, un avenir meilleur, même dans des circonstances défavorables.

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[1] Véase Foronda, M.: Reservas internacionales. Disponible en: https://observablehq.com/@mauforonda/reservas-internacionales-bcb

[2] Véase El Deber: Dólar paralelo se dispara y alertan estancamiento económico con inflación en Bolivia. Disponible en: https://eldeber.com.bo/economia/dolar-paralelo-se-dispara-y-alertan-estancamiento-economico-con-inflacion-en-bolivia_512540/

[3] Véase El País: La escasez de combustible en Bolivia alienta las protestas de los transportistas contra Arce . Disponible en: https://elpais.com/internacional/2025-03-14/la-escasez-de-combustible-en-bolivia-alienta-las-protestas-de-los-transportistas-contra-arce.html

[4] Véase El Deber: Inflación acumulada en Bolivia alcanza el 5,95%, representa el 79% de la proyección del Gobierno. Disponible en: https://eldeber.com.bo/economia/inflacion-acumulada-en-bolivia-alcanza-el-595-representa-el-79-de-la-proyeccion-del-gobierno_513159/

[5] Véase Fundación Tierra. Disponible en: https://www.ftierra.org/index.php/opinion-y-analisis/1286-crisis-en-el-bolsillo-cuando-el-boliviano-pierde-su-poder-adquisitivo#:~:text=Crisis%20en%20el%20bolsillo%2C%20cuando%20el%20boliviano%20pierde%20su%20poder%20adquisitivo,-Gonzalo%20Colque%2017&text=Hemos%20cerrado%20el%202024%20con,Nacional%20de%20Estad%C3%ADstica%20(INE).

[6] Véase Defensoría del Pueblo. Disponible en: https://www.defensoria.gob.bo/noticias/defensoria-del-pueblo-evidencia-201-conflictos-en-el-primer-trimestre-del-2025-e-identifica-dos-conflictos-medioambientales-estrategicos

[7] Véase El Deber: Cochabamba está con montañas de basura desde hace dos semanas. Disponible en: https://eldeber.com.bo/pais/cochabamba-esta-con-montanas-de-basura-desde-hace-dos-semanas_513111

[8] Véase La Pública: retos ambientales, incendios, deforestación a. Disponible en: https://www.lapublica.org.bo/especiales/item/1255-retos-ambientales-2025-incendios-mineria-eventos-climaticos-deforestacion-y-agresion-a-defensores-en-bolivia

[9] Véase Red Uno: Cochabamba registra récord histórico de lluvias en Enero de 2025. Disponible en: https://www.reduno.com.bo/noticias/cochabamba-registra-record-historico-de-lluvias-en-enero-de-2025-202524143333

Kurzanalyse der politischen, wirtschaftlichen und sozialen Lage in Bolivien 2025

von unserer Partnerorganisation ANAWIN in Cochabamba, Mai 2025

(vous trouvez la version française de ce texte ici)

Seit Mitte 2023 befindet sich Bolivien in einer komplexen wirtschaftlichen, politischen und sozialen Situation. Einerseits zeigt die bolivianische Wirtschaft Anzeichen einer Verschlechterung. Die Netto-Währungsreserven liegen weiterhin unter 3 Milliarden US-Dollar, was zu Wechselkursinstabilitäten [2] und Problemen beim Import von Benzin und Diesel für den Inlandsverbrauch führt [3]. All dies trägt zu einem anhaltenden Anstieg der Inflationsrate von über 5 % in diesem Jahr bei [4], wobei die Inflation im Jahr 2024 9,97 % und im selben Jahr für Lebensmittel 15,4 % betragen hat [5].

Am 17. August finden in Bolivien Präsidentschaftswahlen statt, wobei die Gesellschaft politisch gespalten ist. Das Wahlszenario ist durch eine Vielzahl mehrerer unter sich zerstrittenen Kandidaten sowohl des linken als auch des rechten Lagers gekennzeichnet. Die Rechte ist gespalten zwischen extremeren Strömungen wie Jaime Dunn und zentristischeren Strömungen wie Samuel Doria und Jorge Quiroga. Doch was am meisten zur politischen Krise beiträgt, ist die interne Spaltung innerhalb der Bewegung Movimiento al Socialismo (MAS). Präsident Luis Arce und der ehemalige Präsident Evo Morales wetteifern um den Parteivorsitz. Letzterer wurde aufgrund rechtlicher Vorwürfe von den Gerichten von der Kandidatur bei den Wahlen im August 2025 ausgeschlossen und versuchte trotzdem, seinen politischen Einfluss zu wahren. In diesem Zusammenhang kündigte Andrónico Rodríguez, Senatspräsident und politischer Erbe von Morales, seine Kandidatur für das Präsidentenamt an. Damit distanzierte er sich von beiden Politikern und veränderte die politische Landschaft Boliviens.

Die soziale Lage in Bolivien ist angespannt. Im ersten Quartal 2025 wurden 201 Konflikte [6] registriert. Bei den meisten dieser Konflikte ging es um Proteste gegen steigende Lebensmittelpreise und politische Themen. Einer der jüngsten Konflikte hier in Cochabamba [7] hängt mit nicht abgeholtem Müll zusammen, der die Gesundheit der Stadtbevölkerung schädigt.

Im Umweltbereich bleiben Abholzung und Waldbrände auch im Jahr 2024 schwerwiegende Probleme für die indigene Bevölkerung und die ländlichen Gemeinschaften [8]. Darüber hinaus kam es im Departement Cochabamba im Jahr 2025 zu den schlimmsten Regenfällen seit 1959 [9]. Diese Regenfälle führten zu Erdrutschen auf Landstraßen und dazu, dass Flüsse über die Ufer traten.

Welche Auswirkungen haben Konflikte auf die am stärksten gefährdeten Gemeinschaften?

Die Konflikte in Bolivien im Jahr 2025 werden verheerende Auswirkungen auf die am stärksten gefährdeten Gemeinschaften haben. Die komplexe Wirtschaftslage hat zu Wechselkursinstabilitäten geführt, die die Kaufkraft von Familien mit niedrigem Einkommen direkt untergraben. Aufgrund der anhaltenden Preissteigerungen wird es für einheimische Familien zunehmend schwieriger, ihren Lebensstandard aufrechtzuerhalten. Eine kumulierte Inflation von über 20 % seit Beginn der Krise hat zu erheblichen Schwierigkeiten beim Zugang zu Produkten des Grundbedarfs geführt, eine Situation, die sich in ländlichen und Randgebieten noch verschärft. Kraftstoffknappheit, insbesondere bei Benzin und Diesel, verteuert nicht nur den Transport, sondern unterbricht auch wichtige Lieferketten für diese Gemeinden.

In ökologischer Hinsicht sind indigene und bäuerliche Gemeinschaften direkt von Abholzung, Waldbränden und sintflutartigen Regenfällen betroffen. Ihr Lebensunterhalt ist eng mit den natürlichen Ressourcen verknüpft und wird durch plötzliche Klimaveränderungen und Schwierigkeiten beim Zugang zu lokalen Märkten, auf denen sie ihre Produkte verkaufen können, bedroht.

Die politische Zersplitterung verkompliziert die Situation zusätzlich. Die Spaltung zwischen rechts und links, einschließlich der internen Spaltung innerhalb der MAS zwischen Luis Arce und Evo Morales, erschwert die Entwicklung einer kohärenten Politik zur Bewältigung dieser Krisen. Die Stimme gefährdeter Gemeinschaften, deren politische Verteidigungsfähigkeit geringer ist, wird in diesem polarisierten Kontext geschwächt.

Dieses Zusammentreffen wirtschaftlicher, sozialer, ökologischer und politischer Krisen führt zu einem Teufelskreis für die am stärksten marginalisierten Teile der bolivianischen Gesellschaft. Mit den bevorstehenden Präsidentschaftswahlen im August sind es gerade Frauen, Kinder, ältere Menschen, indigene Gemeinschaften und Menschen in den Randgebieten, die die Hauptlast dieser widrigen Situation tragen. Sie vertieft die historische Ungleichheit und gefährdet ihre mittel- und langfristigen Entwicklungsaussichten.

Für NGOs wie Anawin manifestieren sich die Herausforderungen in Transportproblemen zu den Gemeinden für die von uns durchgeführten Projekte, die auf lange Verzögerungen aufgrund von Wartezeiten auf Treibstoff zurückzuführen sind. Darüber hinaus sind wir auf ernsthafte Schwierigkeiten beim Import der Materialien und Betriebsmittel gestoßen, die für die Durchführung der Projekte erforderlich sind aufgrund von Preisinstabilität und Schwierigkeiten bei der Beschaffung von Fremdwährungen.

Ausblick für Ende 2025

Kurzfristig ist eine stabile wirtschaftliche und politische Realität kaum vorstellbar. Die politische Multipolarität und die wirtschaftlichen Schwierigkeiten lassen vermuten, dass die Regierung, egal welche neue Regierung sie einnimmt, gezwungen sein wird, beim Internationalen Währungsfonds einen internationalen Kredit zu beantragen, um die wirtschaftliche Lage des Landes zu stabilisieren. Aus Erfahrung wissen wir jedoch, dass diese Kredite mit Bedingungen verbunden sind, wie etwa der Schließung öffentlicher Unternehmen, Lohnstopps und anderen Bedingungen, die für die Mehrheit der Bevölkerung ungünstig sind.

Die Bolivianer sind eine äußerst widerstandsfähige und anpassungsfähige Gesellschaft. Obwohl die aktuelle Situation durch ihre Komplexität gekennzeichnet ist und die Aussichten auf eine mittelfristige Verbesserung gering erscheinen, drängt das grundlegende Bedürfnis nach Einkommen die Bevölkerung dazu, alternative Wege und kreative Lösungen zu finden. Diese Anpassungsfähigkeit spiegelt sich in der Beständigkeit der Wirtschaftstätigkeit auch in Krisenzeiten wider. Der Einfallsreichtum der Basisbewegung hat zur Entwicklung von unterstützenden Netzwerken in der Gemeinschaft und informellen Wirtschaftsmechanismen geführt, die Familien unterstützen, wenn die formellen Strukturen ins Wanken geraten. Lokale Märkte, kleine Unternehmen und Familienbetriebe sind weiterhin aktiv und bilden ein paralleles Wirtschaftsnetz, das widerstandsfähig gegenüber makroökonomischen Schwankungen ist.

Obwohl die am stärksten gefährdeten Gemeinschaften von den aktuellen Herausforderungen überproportional betroffen sind, zeigen sie eine außergewöhnliche Fähigkeit, sich neu zu organisieren und alternative Existenzgrundlagen zu schaffen. Diese Dynamik, die in den kulturellen Praktiken und dem traditionellen Wissen der Vorfahren wurzelt, ermöglicht es, dass das tägliche Leben trotz struktureller Schwierigkeiten mit einem gewissen Grad an Normalität weitergeht.

Diese Widerstandsfähigkeit sollte nicht als Resignation interpretiert werden, sondern als echter Ausdruck der Vitalität und Entschlossenheit des bolivianischen Volkes, Hindernisse zu überwinden, seine Gemeinschaften zu bewahren und Schritt für Schritt eine bessere Zukunft aufzubauen, selbst unter widrigen Umständen.

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[1] Véase Foronda, M.: Reservas internacionales. Disponible en: https://observablehq.com/@mauforonda/reservas-internacionales-bcb

[2] Véase El Deber: Dólar paralelo se dispara y alertan estancamiento económico con inflación en Bolivia. Disponible en: https://eldeber.com.bo/economia/dolar-paralelo-se-dispara-y-alertan-estancamiento-economico-con-inflacion-en-bolivia_512540/

[3] Véase El País: La escasez de combustible en Bolivia alienta las protestas de los transportistas contra Arce . Disponible en: https://elpais.com/internacional/2025-03-14/la-escasez-de-combustible-en-bolivia-alienta-las-protestas-de-los-transportistas-contra-arce.html

[4] Véase El Deber: Inflación acumulada en Bolivia alcanza el 5,95%, representa el 79% de la proyección del Gobierno. Disponible en: https://eldeber.com.bo/economia/inflacion-acumulada-en-bolivia-alcanza-el-595-representa-el-79-de-la-proyeccion-del-gobierno_513159/

[5] Véase Fundación Tierra. Disponible en: https://www.ftierra.org/index.php/opinion-y-analisis/1286-crisis-en-el-bolsillo-cuando-el-boliviano-pierde-su-poder-adquisitivo#:~:text=Crisis%20en%20el%20bolsillo%2C%20cuando%20el%20boliviano%20pierde%20su%20poder%20adquisitivo,-Gonzalo%20Colque%2017&text=Hemos%20cerrado%20el%202024%20con,Nacional%20de%20Estad%C3%ADstica%20(INE).

[6] Véase Defensoría del Pueblo. Disponible en: https://www.defensoria.gob.bo/noticias/defensoria-del-pueblo-evidencia-201-conflictos-en-el-primer-trimestre-del-2025-e-identifica-dos-conflictos-medioambientales-estrategicos

[7] Véase El Deber: Cochabamba está con montañas de basura desde hace dos semanas. Disponible en: https://eldeber.com.bo/pais/cochabamba-esta-con-montanas-de-basura-desde-hace-dos-semanas_513111

[8] Véase La Pública: retos ambientales, incendios, deforestación a. Disponible en: https://www.lapublica.org.bo/especiales/item/1255-retos-ambientales-2025-incendios-mineria-eventos-climaticos-deforestacion-y-agresion-a-defensores-en-bolivia

[9] Véase Red Uno: Cochabamba registra récord histórico de lluvias en Enero de 2025. Disponible en: https://www.reduno.com.bo/noticias/cochabamba-registra-record-historico-de-lluvias-en-enero-de-2025-202524143333

Bilan 2024 de KAIRÓS

En plus de vous adresser nos salutations chaleureuses, nous souhaitons partager avec vous le travail réalisé par la Corporación KAIRÓS au cours de l’année 2024.

Cette année au mois de décembre nous avons entamé un nouveau projet « Chemins d’ouverture » du ministère du Développement social et de la Famille qui sera mis en œuvre au cours de l’année 2025.

Ce programme vise à développer des stratégies pour améliorer la situation économiques et psychosociales des enfants et adolescents de parents qui sont en prison. C’est un nouveau défi, compliqué par la situation dans laquelle vivent ces personnes mineures, mais nous pensons que nous pouvons contribuer à améliorer leur situation et celle des soignants.

Les communes où ce programme sera mis en œuvre sont situées dans la zone nord de Santiago : Huechuraba, Conchalí et Recoleta.

 

Nos jardins d’enfants continuent à être très appréciés par la communauté, ils sont un lieu de rencontre très important.

La formation des équipes éducatives a été intensifiée, ce qui a permis d’intégrer de nouvelles méthodologies pédagogiques dans les deux jardins. Cela améliore certainement le travail avec les enfants et leurs familles.

Nous tenons à vous remercier pour votre soutien et votre confiance dans notre travail. Vous nous permettez de contribuer à améliorer un peu la vie de ces enfants et adolescents et leurs familles, nous mettons toute notre énergie dans ce que nous faisons.

Un gros câlin à chacun d’entre vous, merci beaucoup,

Silvana Buholzer Rivera, directora

Corporación KAIRÓS

 

QUELQUES RÉFLEXIONS SUR LA SITUATION SOCIO-POLITIQUE AU CHILI EN 2024

La situation sociopolitique au Chili en 2024 est une question complexe qui couvre divers domaines, y compris les politiques publiques, l’éducation, la santé et le logement. Le Chili est confronté à divers problèmes sociaux qui reflètent la complexité de son contexte socio-économique, politique et économique.

L’un des problèmes les plus ressentis par les citoyens est le non-respect du payement des pensions alimentaires. Une étude révèle que 84% des pensions alimentaires décrétées par les tribunaux ne sont pas respectés, affectant principalement les femmes, ce qui soulève de graves préoccupations concernant l’égalité des sexes et la justice économique.

La corruption des entreprises est une autre situation qui a affecté la confiance des gens, La faible divulgation des mesures anti-corruption dans les entreprises chiliennes révèle la nécessité d’accroître la transparence dans ce domaine, ce qui pourrait constituer un obstacle pour le développement économique et social.

La violence sexiste : La pandémie a exacerbé la violence à la maison ce qui est devenu un problème important dans la société chilienne, soulignant la nécessité des politiques plus efficaces pour résoudre ce problème. La santé mentale, les symptômes dépressifs et les troubles de santé mentale ont augmenté dans la population, ce qui témoigne du manque de soutien et de ressources adéquates pour y faire face.

Les inégalités socio-économiques : La crise du COVID-19 a mis en évidence les disparités socioéconomiques dans les villes chiliennes, où l’accès aux services et la qualité de vie varient considérablement selon la situation géographique.

Politiques publiques et éducation : La nécessité de réformer l’éducation et la formation professionnel de la santé est urgent, compte tenu de l’augmentation des maladies chroniques et de la complexité des défis actuels en matière de santé publique.

La situation sociale au Chili en 2024 est critique et nécessite une attention urgente aux problèmes de genre, corruption, violence, santé mentale, inégalités et éducation, pour promouvoir une un développement plus équitable et plus durable du pays.

Le Chili est confronté à des défis importants dans divers domaines sociaux et politiques, notamment : l’éducation, la santé, l’inclusion et le logement, qui nécessitent une attention et des réformes important pour améliorer la qualité de vie de ses citoyens.

Veröffentlicht unter chili

Assemblée Générale 2025 de Niños de la Tierra a.s.b.l.

 

Le conseil d’administration de Niños de la Tierra asbl. anc.«Chiles Kinder asbl.» a l’honneur et le plaisir de vous inviter à sa

 

38e Assemblée Générale

 

qui aura lieu à la Boutique du Monde au « Gréngen Haus »

42, route de Mondorf à Bettembourg  

mardi le 25 mars 2025 à 20.00 heures

avec l’ordre du jour suivant :

 

  1. Allocution de bienvenue du président
  2. Approbation du procès-verbal de l’assemblée générale 2024
  3. Rapport d’activité pour l’exercice 2024
  4. Rapport de caisse pour l’exercice 2024
  5. Rapport des réviseurs de caisse
  6. Approbation des rapports et décharge du trésorier
  7. Désignation des réviseurs de caisse
  8. Fixation de la cotisation
  9. Conseil d’administration
  10. Projets actuels et futurs
  11. Compte-rendu d’un voyage de projets en Bolivie et au Chili
  12. Divers

 

L’Assemblée Générale sera suivie d’une Assemblée Générale extraordinaire avec l’ordre du jour suivant:

  1. Adaptation des statuts à la nouvelle loi du 7 août 2023

Cliquez ici pour consulter l’adaptation des statuts de Niños de la Tierra

Ont droit de vote les membres ayant payé leur cotisation annuelle de 10 € avant l’A.G.

 

Un pot de l’amitié sera offert.

 

 

 

 

 

 

 

INTERVIEW:  LENA ZU TIRANI

ALS FRÄIWËLLEG AM ASAZ A BOLIVIEN

Zanter dem 1. Juni 2024 lieft a schafft d’Lena Erpelding zu Cochabamba a Bolivien. Mat NIÑOS DE LA TIERRA an iwwert de Programm « Service Volontaire de Coopération » vum SERVICE NATIONAL DE LA JEUNESSE (SNJ) engagéiert sech d’Lëtzebuergerin fräiwëlleg fir ee Joer bei eiser Partnerorganisatioun FCVB. Eis Delegatioun hat am Kader vun hirer Projetsvisite d’Chance, d’Lena bei senger Aarbecht ze erliewen a sech mat him auszetauschen.

 

 

Nitis : Lena, kanns du eis erzielen, firwat s du dech fir dëse Fräiwëllegendéngscht engagéiert hues ?

Lena : D’Iddi, fir mech fir e Service Volontaire am Ausland ze engagéieren, hat ech eigentlech schonn ëmmer. Ech si ganz einfach e Mënsch, dee gären hëlleft.

D’lescht  Joer  huet  dunn  den  Zäitpunkt  perfekt  gepasst, fir aktiv ze ginn. Ech hat en Diplom als Educatrice an als Ergotherapeutin an der Täsch a wollt mech nëtzlech maachen. No engem éischte Gespréich mam SNJ hunn ech mir déi verschidde Projeten, déi vu Lëtzebuerger ONGe proposéiert ginn, ugekuckt an ee Projet vun Niños de la Tierra huet mech direkt ugeschwat.

Ech hu Kontakt mat ärer ONG opgeholl an d’Chimie huet direkt gestëmmt. Wärend menger Virbereedung gouf ech ganz léif vun iech begleet.

Nitis : Erziel eis e bëssen, wat s du genee hei méchs a wéi s du liefs.

Lena : Ech wunnen hei zu Tirani direkt nieft dem Kannergaart, an deem ech schaffen. D’Wunneng deelen ech mat dräi Volontärinnen aus Däitschland. Mir ginn immens gutt eens mateneen, och wa si e gudde Krack méi jonk si wéi ech. Zesumme mat enger bolivianescher Erzéierin schaffen ech 35 Stonnen an der Woch mat 16 Kanner, déi tëscht zwee an dräi Joer al sinn. Um Programm sti Spiller, Ritualer (Sangen, Danzen…) an aner pädagogesch Aktivitéiten, bei deene mir drop oppassen, reegelméisseg d’Feinmotorik, d’Grobmotorik, d’Sprooch an de soziale Volet ofzedecken. D’Fräispill ass natierlech och wichteg. Reegelméisseg evaluéiere mir d’Kanner a mir probéieren, hir Fortschrëtter ze dokumentéieren. Duerch dës Observatioune kënne mir da Prioritéiten an individuell Fördermoossname  festleeën.  Ech  fannen,  datt  hei  ganz professionell geschafft gëtt. Mir drénken och all Dag mat de Kanner Kaffi a mir iesse mat hinnen ze Mëtteg. Zu den Aufgabe vun eis gehéieren och Saache wéi Kieren a Botzen 😉

Zweemol an der Woch fueren ech nomëttes an d’Stad (Cochabamba) fir e Meedchen individuell ze ënnerstëtzen. Dat Kand konnt virun e puer Wochen trotz senge fënnef Joer nach guer net schwätzen an elo gesi mir scho ganz vill Fortschrëtter.

A menger Fräizäit ginn ech an Danzcoursen an ech hu geplangt, och nach e bëssen duerch Bolivien ze reesen, fir d’Land besser kennen ze léieren.

Nitis : Mir géingen eis elo freeën, wann s du eis op all Fro dräi spontan Äntwerte kéints ginn. Bass du prett ?

Lena : A lass !

Nitis : Wéi fills du dech ?

Lena : 

  1. dankbar !
  2. ukomm !
  3. sprachlos !

An nach e klengen Zousaz : Ech hunn eng Freed a mir, déi all meng Erwaardungen iwwertrëfft. Ech bereien et keng Sekonn, datt ech mech fir dëse Projet engagéiert hunn.

Nitis : Wat waren deng Bedenken oder deng Ängschten, ier s du hei a Bolivien ukomm bass ?

Lena : 

  1. Einsamkeet,
  2. Schwieregkeete mat der spuenescher Sprooch,
  3. Sécherheetsbedenken

Nitis : Hu se sech bestätegt ?

Lena : Op kee Fall. Ech hu ganz séier Uschloss fonnt, ech verstinn a schwätzen elo gutt spuenesch an ech fille mech ganz sécher hei.

Nitis : Wat hues du da bis elo hei geléiert ?

Lena :

  • Genügsamkeet
  • Flexibilitéit
  • Gedold

Nitis : Nenn dräi Saachen, déi hei a Bolivien komplett anescht si wéi zu Lëtzebuerg.

Lena :

  • de Lifestyle
  • d’Denkweis vun de Leit
  • d’Wieder

Nitis : Bei der nächster Fro kanns du méi an den Detail goen. Wat sinn deng dräi Top-Erliefnësser bis elo ?

 Lena :

  • Ech war um Ofschlossfest vun engem Kachcours, deen d’Fundación organiséiert hat. Dee Moment, wou d’Meedercher, déi matgemaach haten, hire Certificat kruten, huet mech staark markéiert. Jidderee war esou glécklech an dankbar.
  • Ech hunn eng Kéier eise Sozialaarbechter begleet bei senger Aarbecht (Projet Puriskiris, och FCVB) a mir sinn an de Süde vu Cocha gefuer. Do hunn ech Mënsche gesinn, déi a schrecklecher Aarmut wunnen. An awer hunn si alles gemaach, fir mech wëllkomm ze heeschen. Hinne war et wichteg, datt ech mech wuelfillen an net kal ginn. Déi Gaaschtfrëndschaft gesinn ech ëmmer erëm an se beandrockt mech ganz déif.
  • Mat deenen anere Volontärinnen war ech e Weekend op La Paz/El Alto gefuer. Well et scho spéit war, huet eng Persoun, där mir direkt vertraut hunn, sech ugebueden, eis erof an den Zentrum ze féieren. Wéi mir erausgeklomm sinn, sot se eis, datt si keng Sue wéilt, an datt et elo un eis wier, anzwuesch anescht eppes Guddes ze maachen. Dat huet mech inspiréiert.

Nitis : Nenn eis fir ofzeschléissen dräi Saachen, déi dir feelen.

Lena : (laacht). Dat ass einfach.

  1. eng gutt Pizza
  2. gudde Schockela
  3. knackegt Geméis.

Nitis : Lena, mir soen dir Merci fir dëst Gespréich a wënschen dir weiderhi vill Zefriddenheet hei a Bolivien!

Lena : Et ass gär geschitt !

 

Lena Erpelding a Marianne Schummer

 

Dëse Fräiwëllegendengscht gëtt vum SNJ an eiser ONG encadréiert.

Méi Infoen op www.volontaires.lu an www.niti.lu

 

 

 

 

Solidarität und Vertrauen

 

Im Rückblick auf das Jahr 2024 sind folgende herausragenden Geschehnisse in Bezug auf die Arbeit von Niños de la Tierra zu nennen:

  • Die Brandkatastrophe in Viña del Mar/Chile im Februar. Spendenaufruf und Katastrophenhilfe wurden sofort von Niños de la Tierra eingeleitet.
  • Der Tod von unserem Freund, Gründer, Vorbild und früheren Präsidenten Michel Schaack im Mai (siehe Info N°3 dieses Jahres).
  • Die Aufnahme neuer Vorstandsmitglieder im Fegefeuer-Statut[1]: Rachel BRAUN (Jul24), Anna WEIRICH (Nov24) und David HOFFMANN (Mar24). Dies freut uns sehr.
  • Der Beginn des Freiwilligenjahres von Lena Erpelding bei der „Fundación Cristo Vive Bolivien“ in Cochabamba ab Juni.
  • Die konfliktuelle Situation in unserem langjährigen Musikschuleprojekt „Escuela popular de Artes“ (EPA) in Viña del Mar/Chile mit einstweiligen Stopp der finanziellen Unterstützung aus Deutschland und Luxemburg. Alle Spender dieses Projektes wurden unsererseits per Brief informiert und in der Generalversammlung 2025 werden wir Näheres berichten.
  • Die Projekt-Evaluationsreise einer Delegation der „Nitis“ nach Bolivien und Chile im November.
  • Der erfolgreiche Verlauf unserer vier neueren kofinanzierten Projekte in der Gegend von La Paz und Cochabamba / Bolivien.
[1] Der Begriff stammt von Michel Schaack und bedeutet, dass neue Mitglieder erst einmal ohne Stimmrecht im Vorstand zu einer gegenseitigen Schnupperphase eingeladen sind. Diese Phase kann, je nach Erfahrung im Bereich der Entwicklungshilfe, 1-2 Jahre dauern.

Sowohl positive Entwicklungen wie auch negative Ereignisse ließen dem Vorstand keine Zeit zum Daumendrehen. Hinzu kommen die Affären Caritas und OGBL mit ihren Konsequenzen. Wir sind besorgt und haben das Gefühl, dass Solidarität und Spendenbereitschaft zurückgehen könnten. Wir verzeichnen effektiv eine leichten Knick im Spendenaufkommen für das letzte Semester 2024 und gerade nach unserer Projektreise haben wir nochmal sehr nahe erlebt wie dringend die Armen in Lateinamerika Hilfe benötigen. Ein spürbarer Einbruch der Spenden wäre natürlich in jeder Hinsicht katastrophal. Sicher war der Caritasskandal ein großer Schock für alle Beteiligten und für die Spender. Die Aufklärung dieses Verbrechens ist bis heute sehr dürftig. Klar ist allerdings, dass sowohl Caritas als auch OGBL Opfer krimineller Handlungen geworden sind. Es gab und gibt keine Ursache die Organisationen als solche in Frage zu stellen. Bei der Bankenkrise von 2008 wurden auch keine Banken geschlossen und auch in anderen Ländern mit anderen Kontrollsystemen wird leider immer wieder von solchen Veruntreuungen berichtet. Die betroffenen Institutionen mit ihren oft jahrzehntelangen Verdiensten konnten allerdings bestehen bleiben. Sicherlich sollte das Luxemburger Kontrollsystem im Bereich von Kooperation und Sozialdiensten überdacht werden. Zeitaufwand, Energie und Kosten dieser Kontrollen riskieren allerdings in der aktuellen Großwetterlage Überhand zu nehmen. Wer soll das bezahlen? Einen Teil der Spenden dafür aufwenden zu müssen ist sehr unpopulär. Hier muss die Politik ein Gleichgewicht finden, da Entwicklungsprojekte natürlich auch nicht ohne Verwaltungskosten in einer funktionierenden Nichtregierungsorganisation (in Luxemburg und im Zielland) umgesetzt werden können.

 

Niños de la Tierra hat bisher die nachfolgenden Prinzipien beachtet um sich das Vertrauen der Spender zu sichern:

  1. Freiwilliges Engagement: Alle Vorstandsmitglieder arbeiten unentgeltlich. Administrative Kosten, Kosten für die geforderte Berichterstattung bezüglich der kofinanzierten Projekte ans Ministerium und Auditkosten bleiben im Rahmen der diesbezüglichen Zuschüsse des Staates und jeder Spendeneuro wird in den Projekten, je nach Wunsch des Spenders, verwendet.
  2. Regelmäßige Berichterstattung mit Erfolgsgeschichten: Transparente und regelmäßige Updates über die Verwendung der Spendengelder und die erzielten Ergebnisse sind für uns essenziell. Konkrete Beispiele und Zeugnisse, wie die Spenden geholfen haben, sollen Sinn und Zweck unseres Engagements und der Notwendigkeit der Spenden veranschaulichen.
  3. Direkte Kommunikation: Wir stehen Rede und Antwort per Telefon, Brief oder E-Mail.
  4. Unabhängige Prüfungen: Regelmäßige externe Prüfungen und Audits der Finanzen innerhalb der Projekte und der Niños de la Tierra-NGO als Ganzes werden durchgeführt. Unsere Finanzlage wird jedes Jahr im Info N°2 publiziert und in der Generalversammlung vorgestellt.
  5. Nachhaltigkeit: Wir haben die Nachhaltigkeit unserer Projekte immer im Blick. Ganz aktuell, während der zweiten Woche unserer Projektreise, konnten wir uns im Chile bei der Fundación Criste Vive überzeugen was mit Luxemburger Entwicklungshilfe seit den 90ziger Jahren entstanden ist und fortbesteht (Siehe Bericht der Projektreise).

Ohne Vertrauen und Solidarität kann Niños de la Tierra nicht weiterarbeiten. Solidarität ist das Fundament einer funktionierenden Gesellschaft. Schütten Sie bitte nicht das Kind mit dem Bade aus und bleiben Sie uns, trotz Skandalen und Miesmacherei außerhalb unserer Arbeit, als Spender treu.

Wir wünschen frohe Feiertage und ein gesundes und glückliches neues Jahr.

Marco Hoffmann

 

Schwester Karoline zu Besuch in Luxemburg – Soeur Karoline en visite à Luxembourg

Vom 21. bis 24. Juni 2024 wird Schwester Karoline Mayer wieder einmal zu Gesprächen mit ihren Unterstützervereinigungen Andamos, Niños de la Tierra und Guiden a Scouten fir eng Welt in Luxemburg sein.

Gönnern und Sympathisanten der Fundación Cristo Vive bietet sich ebenfalls die Gelegenheit Schwester Karoline persönlich zu treffen:

  • auf dem Pisco-Stand von Niños de la Tierra auf der FÊTE DE L’AMITIÉ in BETTEMBURG (Parkplatz vor der Sporthalle, rue Polk) am Samstag, den 22.Juni ab 19.00 Uhr
  • in der Messe in der PFARRKIRCHE HOWALD (Gedenkgottesdienst für Michel Schaack) am Sonntag, den 23. Juni um 10.45 Uhr sowie beim anschliessenden Apéritif.

 

 

 

 

 

 

 

Soeur Karoline Mayer sera de nouveau présente au Luxembourg du 21 au 24 juin 2024 pour des entretiens avec les dirigeants des organisations de soutien Andamos, Niños de la Tierra et Guiden a Scouten fir eng Welt.

Les donateurs et sympathisants de la Fundación Cristo Vive auront deux occasions pour rencontrer soeur Karoline personnellement:

  • sur le stand Pisco de Niños de la Tierra à la FÊTE DE L’AMITIÉ à BETTEMBOURG (parking devant le hall sportif, rue Polk) samedi le 22 juin à partir de 19.00 heures
  • dans la messe en l’EGLISE PAROISSIALE de HOWALD (messe en mémoire de Michel Schaack) le dimanche 23 juin à 10.45 heures ainsi qu’à l’apéritif après la messe.